C'est avec une profonde tristesse que j'ai appris le décès de Jacques Sylla, victime à 63 ans d'une "longue maladie".
Il m'avait fort aimablement reçu à plusieurs reprises à Tananarive, au Palais de Mahazoarivo, lorsqu'il exerçait les fonctions de Premier ministre de Madagascar.
Je garderai de Jacques Sylla le souvenir d'un homme chaleureux, volontaire, disponible, attentionné, curieux de tout, et avant toutes choses, désireux d'agir pour le développement économique de Madagascar et l'amélioration des conditions de vie du peuple malgache.
Par son dynamisme et son très haut sens des responsabilités, Jacques Sylla aura marqué de son empreinte la vie politique malgache de ces quinze dernières années.
A l'heure où Madagascar peine à trouver une issue consensuelle à une longue et douloureuse crise politique, sa disparition sera cruellement ressentie par tous ceux qui s'inquiètent pour la démocratie et l'avenir économique de la Grande Ile.
Il m'avait fort aimablement reçu à plusieurs reprises à Tananarive, au Palais de Mahazoarivo, lorsqu'il exerçait les fonctions de Premier ministre de Madagascar.
Je garderai de Jacques Sylla le souvenir d'un homme chaleureux, volontaire, disponible, attentionné, curieux de tout, et avant toutes choses, désireux d'agir pour le développement économique de Madagascar et l'amélioration des conditions de vie du peuple malgache.
Par son dynamisme et son très haut sens des responsabilités, Jacques Sylla aura marqué de son empreinte la vie politique malgache de ces quinze dernières années.
A l'heure où Madagascar peine à trouver une issue consensuelle à une longue et douloureuse crise politique, sa disparition sera cruellement ressentie par tous ceux qui s'inquiètent pour la démocratie et l'avenir économique de la Grande Ile.
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